vendredi 20 janvier 2012

Stargate Universe.


Y'a des séries comme ça, vous adorez, vous tripez rien qu'à l'idée de regarder sur votre canaprout l’épisode du jour (Je parlerais de mon addiction à O.U.A.T un de ces 4).
y'a des séries aussi, déjà bien entamées, qui après chaque épisode ordonne à votre cerveau de regarder l'épisode suivant sous peine de crise hystérique, et vous font partir au boulot avec des cernes de 3 pieds de longs.
Et y'a des séries, qui vous donnent envie d'envoyer un missile à neutron sur la tronche des americains, et balancer votre TV par la fenêtre, lorsque vous apprenez qu'elle n'est pas reconduite, car ne leur plaisant pas à EUX.

Stargate Universe, c'est ça.
Du moins pour moi.

Mais quel est donc le spitch de Sargate Universe me direz vous?

Sorti de la franchise Stargate, SG-U nous fait suivre les tribulations d'un groupe de réfugiés/survivant (as you wish), coincé sur un vaisseau Ancien lancé à l'autre bout de l'univers espérant un jour, un retour sur terre.
On y retrouve effectivement tout ce qui fait l'univers de Stargate: les Anciens, les E.T, les portes des étoiles, les mondes étranges et étrangers, etc etc.. PLUS, ce qui m'avait fait adorer Battlestar Galactica:
Ce coté stress psychologique lié au fait d'etre enfermé en vase clos.
(on y retrouve aussi Robert Carlyle, mais là je ne suis pas objective..)

Mon dieu, c'est dur d'être l'idole de mzelle coincoin...

Résumé plus complet:
Après avoir résolu un problème mathématique vieux de plusieurs milliers d'années, écrit dans une autre langue et caché dans un jeu vidéo, le jeune Eli Wallace (David Blue) est appelé à contribuer au projet « Porte des étoiles », en collaborant avec le professeur Nicolas Rush (Robert Carlyle) sur la base Icare, où se trouve l'énergie nécessaire à l'utilisation du neuvième chevron ; énergie provenant du coeur de la planète sur laquelle la base est installée.
Lors d'une attaque de la base, le professeur Nicolas Rush voit sa dernière chance de composer l'adresse à neuf chevrons et réussit, grâce au jeune Eli, à ouvrir un vortex stable. Les survivants débarquent sur le Destinée, un vaisseau ancien qui aurait servi à explorer les frontières de l'univers tout en suivant la trajectoire d'un premier vaisseau servant à disséminer des portes des étoiles dans l'univers. La planète abritant la base Icare est détruite durant l'attaque, ce qui les isole de la Terre.
Situé à plusieurs milliards d'années-lumière de la Terre, dirigé par le colonel Everett Young et le professeur Nicolas Rush, le groupe hétérogène des rescapés tente alors de survivre sur le vaisseau, dont la plupart des systèmes sont vétustes et peuvent lâcher à tout moment. Une panne du système de renouvellement de l'air apparaît ainsi quelques heures après leur arrivée.

Le Destiny.

Voilà le topo.
Pourquoi je conseille cette série?
Déjà parce que je retrouve le plaisir de l'univers SG, plaisir qui avait disparut au fur et à mesure que s'allongeait ses saisons, plaisir revenu timidement, avec l'arrivée de SG Atlantis.
Mais surtout parce que cette série se démarque réellement des autres.

Point de scenar cucul la praline, point d'humour gras ou vaseux, point de SF tellement aberrant qu'illogique.
La vie réelle, telle qu'elle est, ou serait, et c'est tout.

Comment ça marche, ce truc?

SG-U est bien plus sombre et bien plus dure que les autres séries et s'axe sur la psychologie des personnages, et non sur les voyages nombreux et répétitifs par la porte des étoiles qui finissaient par saouler à la longue sur les autres franchises.
C'est un véritable huis clos certes moins abouti que celui de Battlestar galactica, mais tout aussi bon.
Chaque personnage essaye de survivre, essaye d'affronter une réalité simple: bloqués sur un simple vaisseau probablement à vie, éloigné de sa sa propre vie qu'il ne peut suivre qu'a distance et par fraction, grâce aux pierres de communication (voir série pour comprendre).
On y voit les joies, les haines, les combats, tout ce qui peut naitre, d'être enfermé sans possibilité de revoir la lumière du jour à part un voyage rapide sur une planète locale, avec un seul mot d'ordre: Survivre.


Certes, SG-U fait fortement penser a BSG, les comparaisons sont nombreuse, mais ce fut un tord que de laisser inachevée cette série qui reste pour moi, la meilleur des séries Stargate, et qui meriterait une reprise, ou du moins un téléfilm pour l'achever..

Bref, à voir, et à revoir sans complexe!

2 commentaires:

  1. Bienvenue Mzelle Coincoin! ;)

    Stargate Universe est la seule série de la franchise ou j'ai à peu prêt accroché, mais pas suffisamment pour tout voir. Maintenant que j'ai les DVD à la maison (je vis avec un fan!), peut-être irai-je jusqu'au bout de la série ^^

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  2. "- Colonel, il n'y a plus de papier-toilette sur le Destiny !
    - Ne vous inquiétez pas, le vaisseau est programmé pour s'arrêter automatiquement sur les planètes ou le pécu pousse sur les arbres..."
    Moi aussi j'ai bien aimé Stargate Universe... ou pas ^^

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